mardi 14 septembre 2010

Vous savez...

Poser une question dans un amphithéâtre rempli de 90 étudiants inconnus, dont beaucoup ont déjà une connaissance en droit, et lever la main dans une classe de cégep de 20 personnes dont on connaît le nom, la couleur préférée et ce qu'elles apporteraient sur une île déserte, ce n'est pas du tout pareil.

Le premier est hautement plus intimidant.

L'avantage, c'est que ça aide à empêcher ma peur universitaire ultime de se concrétiser, j'ai nommé :

Que les professeurs ne sachent pas qui je suis.

J'ai envie d'être plus qu'une étudiante parmi tant d'autres.

2 commentaires:

judith a dit…

Et comment se sent-on après la question? coeur palpitant, sueurs et étourdissements ou libérée...?

Alice a dit…

Les sueurs et étourdissements seraient peut-être un peu trop...
Mais petit stress, tout de même, avant de se rendre compte qu'en fin de compte, ce n'était vraiment pas si pire que ça!