mercredi 14 juillet 2010

réflexion péruvienne

bonjour

J'ai quitté Alice et Frédérique il y a maintenant 3 jours, elles ont continué á Chachapoyas et moi je me suis dirigé vers trujilio. Comment decrire cette ville, premierement lorsque je suis sortie du bus il y avait environs 15 chauffeurs de taxis qui criaient plus fort les uns que les autres pour m'offrir leur service. Moi sans café face a des chauffeurs sur-excité = mauvaise premiere impression, donc je vais vers celui qui crie le moins fort mais qui malheureusement prononce le moins. Donc il me dit que les hotels dans le centre coutent cher (18$ canadien) , donc je décide d'aller pres de la plage a 20 min de bus du centre (3$ canadien pour l'hotel).

A truijlio je visite une cathédrale (petite), le musée du jouet, et je me fait dire 5 fois par des policier que des gens vont esseyer de me voler. Le centre historique de la ville est beau mais 3 jours me sufissent.

Voici certaine choses qui me facinent au Pérou:

La job de second d'autobus qui consiste a :
-mettre le plus de gens dans le avec ou sans siege, (record 24 personnes pour 14 siege)
-criée apres les gens pour qu'ils prennent ton bus
-passer des commentaires sur les gens qui ne prennent pas ton bus( pute chienne homo ect)
-placer le plus d'objet sur le toit( vu sur la meme van : un lit ,un mouton et la moitié d'un dolarama

La ville de trujilio a trouvé un bon moyen de boucler son budget sans déficit et de créer de l'emplois:
ne pas mettre de feux de circulation.
Les débosseleurs ne choment pas et la ville n'a qu'a entretenir 10 feux de circulation,
donc il est normal d'attentre 15 min sur un coins de rue a évaluer le flow de la circulation pour savoir tes chances de survie.

bon je vais a huarraz dans un bus de nuit ou je ne me ferai ni tuer ni voler ni violer

francis

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